Grève oui mais... # 2
Sois salué Blogpotesse et Blogpoteur, la Direction de ce blog, c'est à dire moi-même, H-IL l'unique et son talent, te remercie pour les commentaires lâchés sur le précédedent post. Mais, oui il réside un mais, tu t'es emporté(e), regarde t'as encore la poignée, soit :
par les désagréments, les perturbations que tu pourrais subir soit dans tes déplacements, soit par les décibels agressifs agressant tes frêles oreilles, bref tout ce qui gêne ton p'tit confort égoïste.
par ton bon droit de grève et de manifester ta colère, ton raz le bol face à un Gouvernement qui te tond tous les jours un peu plus, jusqu'à t'enlever la laine et le cuir du dos.
Mais le sujet de mon précédent post n'était en aucun cas là. En ouvrant mon premier blog, je me suis promis à moi-même de ne jamais aborder les sujets qui fâchent, le pognon, la politique et la religion.
Donc, je disais que par définition, l'école obligatoire est obligatoire, et figure ainsi dans la Loi bien avant que le Droit de Grève ni fusse inscrit.
Hors, ton mouflet courbe les cours, schwentze les leçons, sèche l'école, ou simplement la fait buissonnière. La Direction de l'établissement sera dans l'obligation de t'en informer de manière stricte et officielle. Et si récidive devra dénoncer ce grave manquement au Juge qui pourra sanctionner par une amende et dans les cas graves même la prison. Et ça c'est Toi Parent qui le subira et non ton galopin !
Enfin si une crise subite de studiosité reprenait ton rejeton et qu'il se dirige vers son Temple du Savoir, qu'il y trouve porte close pour cause de grève des enseignants, comment pourrait-on, juridiquemet, défendre la cause ?
Qui de la poule ou de l'oeuf faudra-t-il punir en premier ?