Kadhafils

3 septembre 2008

Kadhakouil fils débarque à Genève, avec Madame sa Dame. Il prend logement dans un Hôtel perle de Genève.

Ce n'est pas pour admirer le jet de la rade qu'il est là. Comme tout Arbi friqué, mal embouché et pas éduqué, il a à ses basques une tripotée de larbins. Les larbins, c'est bien connu, c'est fait pour être avilis. Ils les frappent, les battent, les maltraitent, les rossent, les dérouillent, si bien que le Bourdille genevois ramène ses chaussettes à clous et embastille le couple battant.

Ire du Colonel qui ne l'entend pas du tout de cette oreille. Il va envoyer ses troupes sur la Capitale de la Confédération Helveticae. Malheurs et damnations, mais pas de dames à Sion. Son armée, justement armée par des pays européenement amis est forte et les Tiger et autres F/A 18 de Samuel, le Maître des Armées confédérées sont essoufflés.

En bon Prince, Nicolas se rembrunit, il tance celui qui campait sous ses fenêtres avec ses chameaux sur le gazon élyséen. Kadhachose menace de fermer le robinet Tamoil. Aïe aïe la chose devient grave. Mais la Confédération n'a pas un mot à dire. Seule la Justice de la République genevoise est souveraine en la matière. Le procureur du bout du lac, tel un pitbull ne lâche pas l'os. Et l'os et beau et gros. Trop gros pour lui ? Que nenni !

Or, les choses de Kadha du même nom se tassent, se calment et le bouillant Hannibal et son Colopapa indemnisent secrètement les larbins massacrés, torturés et bleuis sous les volées de coups.

Le montant de la transaction reste hyper secrète. Autant être riche et puissant que pauvre et larbin malade au Pays du sable chaud.

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